A 3 semaines d’existence du syndicat, voici où nous en sommes

Bonjour à tous

Prenez le temps de lire tranquillement ce courriel jusqu’au bout.

Le syndicat a trois semaines d’existence aujourd’hui.

Il y a, aujourd’hui, 4700 adhérents.

Merci et bravo à tous pour cet énorme mouvement qui se met en place.

Pensez à rejoindre le fil Telegram pour avoir les informations en instantané lorsque vous avez adhéré.

Telegram est une application que vous pouvez installer facilement sur vos supports numériques en cliquant sur ce lien https://telegram.org/

Cette application vous permet de suivre des fils d’actualité et d’organiser facilement vos groupes localement.

Continuez à diffuser l’information autour de vous.

Ayons bien conscience que l’obligation vaccinale, au-delà de ce qu’elle représente comme difficulté pour les soignants, est surtout un test pour le gouvernement.

S’il réussit à l’imposer au niveau des soignants, il fera voter l’obligation vaccinale pour la totalité de la population.

Ce qui serait une première mondiale.

Un projet de loi est déposé au Sénat et sera débattu le 13 octobre.

Vous êtes donc doublement des résistants pour vous,  pour toute la France et bien au-delà des frontières.

Sur le terrain, les nouvelles sont plutôt bonnes et très différentes du discours officiel du gouvernement, des ARS et des directions d’hôpitaux.

Sur 2 300 000 soignants, 300 000 c’est-à-dire près de 15 % ne sont pas vaccinés dont 10 000 médecins. Cette information est disponible partout.

En France, les conséquences des décisions du gouvernement se font sentir.

Des dizaines de services ferment (nous vous envoyons les informations au fur et à mesure en instantané sur le fil Telegram)

Nous ne remettons pas tous les liens sur ce mail car cela risque de le classer par les opérateurs dans les SPAM.

Rdv sur le fil Telegram !

Certains hôpitaux, comme en Guadeloupe, décident même de laisser travailler les soignants non vaccinés tant ils sont nombreux.

Certaines régions deviennent de vrais déserts sanitaires : les citoyens dénoncent des zones géographiques où il est impossible de trouver kinésithérapeutes ou dentistes….

Beaucoup de soignants subissent un redoutable harcèlement mais concrètement, il n’y a eu que 3 000 suspensions. Soit 1 sur 1000.

Cela relève plus de l’intimidation et démontre leur incapacité à appliquer leur politique.

SURTOUT, TENEZ VOS POSITIONS !

Pour tous ceux qui ont été suspendus, nous proposons d’entamer une phase juridique.

Rendez-vous sur l’onglet SE DÉFENDRE de notre site.

Chacun doit regarder au niveau de ses assurances protection juridique, s’il a une option Défense/Recours.

Voyez autour de vous les avocats qui pourraient vous défendre. Si vous en trouvez qui vous semblent efficaces et engagés, faites nous remonter leurs coordonnées.

Nous sommes en train d’établir une liste et nous avons besoin de vous pour cela.

Nous préparons des stratégies qui permettront de faciliter des actions  collectives et diminuer les coûts.

Si vous êtes un groupe constitué (par exemple un groupe de soignants non vaccinés et/ou suspendus d’une même localité ou d’un même établissement) et que vous vous connaissez les uns les autres, choisissez un représentant et contactez-nous avec pour objet de mail EN GROUPE et votre numéro de département via notre formulaire de contact

 Vous pourrez faire des recours collectifs pour lesquels nous vous donnerons des informations juridiques.

 Nous vous aiderons à vous organiser, à créer des caisses de solidarité auxquelles nous abonderons, en fonction des sommes dont nous disposerons au niveau national.

 Vous seuls, dans les groupes locaux aurez la possibilité de savoir qui doit prioritairement être aidé.

Pour terminer, une bonne nouvelle :  l’avocat Me Di Vizio a déclaré qu’il verserait l’intégralité des fonds perçus par les plaintes en ligne à la caisse de solidarité du syndicat Liberté Santé. (Tweet du 19/09)

Il nous a confirmé cette information, mais nous ne connaissons, pas pour le moment, le montant de cette somme.

Nous considérons cela comme l’initiation d’un grand mouvement de solidarité.

En conclusion, ayons tous bien conscience que personne ne sauvera personne.

Il appartient à chacun de décider de se mettre en mouvement.

Le rôle du syndicat est de vous regrouper et de synchroniser les actions.

L’équipe du Syndicat Liberté Santé